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Temps fluide: Montres hydromécaniques de HYT

Les horloges à eau peuvent être une invention ancienne, mais elles n'ont certainement jamais été aussi élégantes et modernes. La marque de montres de luxe HYT a commencé sa production en 2012 et depuis lors, elle a produit une gamme de montres hydromécaniques différentes - c'est-à-dire des montres alimentées par la mécanique des fluides. Beaucoup a été fait pour que les montres-bracelets soient étanches à l'eau, mais qu'en est-il des montres-bracelets qui, dans un sens, sont alimentées par un liquide? HYT, dirigé par des «horloges hydromécaniques» autoproclamées, est l'un des premiers du genre à produire de telles montres. Une technologie similaire a déjà été utilisée dans les domaines médical et automobile, mais HYT est responsable de l'introduction de montres-bracelets hydromécaniques dans le monde du luxe.

Afin d'avoir la technologie nécessaire pour faire fonctionner ces montres, l'entrepreneur suisse Patrick Berdoz a dû faire équipe avec l'ingénieur nucléaire Lucien Vouillamoz. Grâce à un processus complexe impliquant des liquides immiscibles et un mouvement mécanique, une heure précise est affichée sur la face de la montre. En plus de leur technologie unique, les montres elles-mêmes ont une apparence élégante et inhabituelle, ce qui les rend très convoités par les collectionneurs. En 2015, le prix moyen d'une seule montre d'HYT était de 65 000 $. La pièce la plus chère de HYT est leur H3 ultra-haut de gamme, qui vaut 285 000 $. La société travaille à la production de montres plus fines et simplifiées qui se vendront entre 25 000 $ et 35 000 $. Cependant, ils visent à rester fermement sur le marché du luxe, laissant la production à plus grande échelle et moins chère de montres hydromécaniques à d'autres,

Dior ont été accueillis à leur arrivée à la cour du palais de Blenheim par une fanfare dont les membres arboraient des étendards décorés des initiales "CD". A l'intérieur, une exposition avait été installée dans la grande salle pour exposer non seulement des documents d'archives, mais aussi les robes Mazette, Mexico, Bavardage et six autres créations de haute couture issues de la collection automne-hiver 1954 présentée par Christian Dior au Palais de Blenheim. .

L'imposante bibliothèque et les autres salons communicants étaient bordés de rangées et de rangées de chaises Napoléon III avec des sièges en velours noir et des dossiers dorés. L'endroit n'a rien perdu du charme de son passé glorieux, avec un écran décoré d'un motif asiatique du genre qui a fourni une des inspirations de la collection, tandis que la passerelle même était une répétition sans fin de scènes de chasse qui ont également référencé l'un des motifs de la collection. Et tandis que Burn the Witch, la dernière sortie du groupe britannique Radiohead, a pu fournir la bande son contemporaine, les modèles ont suivi le même parcours que les spectacles originaux de 1954 et 1958.

Avant de partir, les invités ont apprécié le thé de l'après-midi dans un style somptueux. Poursuivant la fusion Paris-Blenheim, le thé était servi accompagné de délices tels que des sandwichs au concombre et des macarons décorés de roses confites.